Facteurs sociaux de la santé mentale des jeunes adultes : faire le pont entre l'analyse psychologique et l'analyse de réseau

Les travaux proposés comprendront quatre éléments clés. Les enquêteurs recueilleront des données de la classe de 2023 au cours de chacune de leurs années restantes à l'université, produisant (i) des données longitudinales qui leur permettront de sonder les effets à long terme sur la santé mentale des connexions établies pendant la transition vers l'université, ainsi que les problèmes de santé mentale et la résilience à la suite de la pandémie de COVID-19 en fonction des liens sociaux. Les chercheurs tireront parti de ce riche ensemble de données pour construire (ii) des modèles quantitatifs prospectifs afin de prédire les résultats de santé mentale plus tard à l'université sur la base d'une gamme de facteurs sociaux mesurés au début de l'université. Ils recueilleront en outre (iii) une cohorte de réplication longitudinale, la classe de 2024, permettant d'établir la robustesse de leurs résultats initiaux à travers les échantillons. Enfin, les chercheurs ajouteront (iv) une composante de neuroimagerie à cet ensemble de données dans un sous-ensemble de la classe de 2024. Cela leur permettra d'examiner les « marqueurs » cérébraux de la connectivité et de les ajouter à un modèle prospectif, offrant une nouvelle intégration entre les niveaux d'analyse du cerveau, du comportement et de la communauté, et une évaluation synthétique des facteurs sociaux dans la santé mentale à long terme.